lundi 28 octobre 2013

Philosophy and the Brain (G. Northoff)

Conférence | Talk



(University of Ottawa Institute of Mental Health Research)


Philosophy and the Brain - Do we need a non-reductive neurophilosophy?


Friday, November 1st, 2013
3:00pm

Universuty of Ottawa
Desmarais Hall (55, Laurier East)
Room 8161

jeudi 24 octobre 2013

La philosophie de l’Occident est-elle universelle? | Is Western Philosophy Universal?

Table ronde | Roundtable



La philosophie de l’Occident est-elle universelle?

Is Western Philosophy Universal?



La philosophie de l’Occident n’est-elle qu’une tradition parmi d’autres ou peut-elle prétendre au titre de seule philosophie véritable, à cause de l’universalité de sa portée, de son message ou de ses méthodes d’enquête? Ce sont là quelques-unes des questions qui seront débattues par notre panel d’experts -- composé des professeurs Sonia Sikka et Jeffrey Reid de l’Université d’Ottawa et des professeurs Annie Larivée et Gordon Davis de l’Université Carleton – pour marquer la journée mondiale de la philosophie.

La table ronde sera suivie d'une réception de 20 h à 21 h.

Université d'Ottawa
Pavillon Desmarais (55 Laurier Est)
Salle 12102
18h00
21 novembre 2013

Inscrivez-vous par courriel à philo@uottawa.ca




Is Western philosophy just one of many equally valid philosophical traditions? Or can it legitimately claim to be the only true philosophy, because of the universality of its scope, its message or its methods of enquiry?  This year’s celebration of World Philosophy Day features a discussion of these questions by Professors Sonia Sikka and Jeffrey Reid from the University of Ottawa, and Professors Annie Larivée and Gordon Davis, from Carleton University.

The discussion will be followed by a reception from 8 p.m. to 9 p.m.

University of Ottawa
Desmarais Hall (55, Laurier East)
Room 12102
6:00pm
November 21st, 2013

Register online at philo@uOttawa.ca


lundi 21 octobre 2013

Death, Speculation and Hope (P. Fairfield)

Conférence | Talk



(Queen's University)


Death, Speculation and Hope


Paul Fairfield is Associate Professor in the Department of Philosophy at Queen’s and Adjunct Professor at the University of Ottawa. He is the author of eight books on topics ranging from education to hermeneutics, politics, and death. His writings fall within the tradition of existential phenomenology and hermeneutics as well as pragmatism, and major influences on his work to date include Friedrich Nietzsche, John Dewey, Martin Heidegger, and Hans-Georg Gadamer. Current projects include a book on the philosophy of history entitled Transitions: An Essay on Historical Change


Friday, October 25th 2013
3:00pm

Universuty of Ottawa
Desmarais Hall (55, Laurier East)
Room 8161

lundi 14 octobre 2013

A General Framework for the Ethics of Public Administration (J. Heath)

Conférence | Talk


(University of Toronto)


A General Framework for the Ethics of Public Administration


Friday, October 18th, 2013
3:00pm

Carleton University
River Building

lundi 7 octobre 2013

La science a-t-elle besoin d’un miroir ? Considérations sur la naissance de l’histoire des sciences au 18e siècle (M. Rioux-Beaulne)


(An English message follows) 


La science a-t-elle besoin d’un miroir ? Considérations sur la naissance de l’histoire des sciences au 18e siècle.

Par Mitia Rioux-Beaulne, lauréat du prix Jeune chercheur de l’année 2013.
Le jeudi 24 octobre à midi
Pavillon Simard (SMD), pièce 129
(un léger goûter sera servi)
Cette conférence est gratuite, inscrivez-vous en ligne pour réserver votre place.


En 1700, Bernard de Fontenelle est nommé secrétaire perpétuel de l’Académie royale des sciences et se voit confier la tâche d’écrire l’Histoire raisonnée de l’Académie royale des sciences. En un sens, c’est là l’acte de naissance d’une discipline qui a aujourd’hui une légitimité institutionnelle indubitable : l’histoire des sciences. Dans cette conférence, Mitia Rioux-Beaulne se penchera sur cet acte de naissance pour essayer de comprendre à quel programme théorique il correspond, quelles visées politiques il sert et comment Fontenelle lui donne un statut philosophique particulier en l’inscrivant dans un dispositif rhétorique bien précis. Faire l’histoire des sciences, ce n’est pas, pour Fontenelle, simplement raconter des découvertes passées pour satisfaire une curiosité d’antiquaire, mais bien plutôt mettre en scène la science en train de se faire pour, d’une part, faire circuler le savoir au sein du public et, d’autre part, permettre à la science elle-même de réfléchir sur ses pratiques, ses normes et ses méthodes.



À propos du conférencier :
Mitia Rioux-Beaulne est professeur au Département de philosophie de l’Université d’Ottawa depuis 2007 et chercheur affilié à l’Institut de recherche sur la science, la société et la politique publique depuis 2012. Ses recherches portent sur divers aspects de la pensée des Lumières françaises, de la philosophie de l’art à celle de la science, et ont en commun une interrogation sous-jacente sur le rapport de l’être humain à son histoire : comment il en est affecté, mais aussi comment il la change. Après plusieurs années à travailler sur la pensée de Denis Diderot, il dirige actuellement un projet de recherche soutenu par le Conseil de la recherche en sciences humaines du Canada (CRSH), intitulé Fontenelle : de l’origine des fables à l’histoire des sciences.

***


Does Science require a mirror? Thoughts on the 18th century birth of the history of science.

(in French only)
By Mitia Rioux-Beaulne – Young Researcher of the Year 2013
Thursday, October 24, 2013 at 12 p.m.
Simard Hall (SMD), room 129
(A light lunch will be provided)
This lecture is free and open to the public, please register online.


In 1700, Bernard de Fontenelle was named permanent secretary of the Royal Academy of Sciences of France and was tasked with writing a history of that institution, entitled Histoire raisonnée de l’Académie royale des sciences. In one way, this document could be considered the creation of a discipline that today enjoys indisputable institutional legitimacy: the history of science. This lecture will explore this creation to try to understand the theory that underpins it, the political aims it sought to achieve, and how Fontenelle gave it a certain philosophical status by employing a very specific rhetorical framework. Fontenelle did not believe that he had been tasked to simply record past discoveries to satisfy historical curiosity; instead, he felt he should tell the story of science as it was being practiced at the time in order to both disseminate information to the general public and encourage scientists themselves to reflect on scientific practices, standards and methods.

About the lecturer:
Mitia Rioux-Beaulne has been a professor in the Department of Philosophy, University of Ottawa, since 2007 and an affiliated researcher with the Institute for Science, Society and Policy since 2012. His research interests, which vary from studying the works of French Enlightenment thinkers to exploring the philosophy of art and science, all have in common an examination of the relationship between human beings and history: how history affects humans, but also how humans change history. Having conducted research on the works of Denis Diderot for several years, Rioux-Beaulne is currently leading a research project sponsored by the Social Sciences and Humanities Research Council of Canada (SSHRC) entitled Fontenelle:  de l’origine des fables à l’histoire des sciences.


Le Lieu de l'homme - Classiques des sciences sociales


Les « Classiques des sciences sociales » constituent une occasion de lire un ouvrage important en sciences sociales, qu’on a parfois lu en partie ou dont on a entendu parler, mais qu’on n’a souvent pas eu l’occasion de lire au complet. Les années passées, les « Classiques » ont ainsi permis de découvrir des ouvrages tels que L’Éthique protestante et l’esprit du capitalisme, de Max Weber, les Manuscrits de 1844, de Karl Marx, La condition de l’homme moderne, d’Hannah Arendt, La grande transformation, de Karl Polanyi, ou Les formes élémentaires de la vie religieuse, d’Émile Durkheim. Cette année, un ouvrage de Fernand Dumont, Le lieu de l’homme. La culture comme distance et mémoire, est au programme. Il s’agit d’un ouvrage qui, par les thèmes qu’il aborde –qu’est-ce que la culture, qu’est-ce que la mémoire, qu’est-ce que la société, etc.—, saura  intéresser à la fois les sociologues, les politologues, les criminologues, les philosophes et les historiens. Après une brève présentation par les animateurs, la discussion est ouverte entre tous les participants. Que l’on fasse partie du corps professoral ou du corps étudiant, tout le monde est le bienvenu!